Résumé livre

Notre résumé

Résumé en 1 phrase : Deep Work part du principe  que nous avons perdu notre capacité à nous concentrer profondément et de nous immerger dans une tâche complexe. Ce livre nous montre alors comment cultiver à nouveau cette compétence et nous concentrer plus que jamais grâce à quatre règles simples.

Étant donné que nous souffrons aujourd’hui d’une capacité d’attention de 8 secondes, inférieure à celle d’un poisson rouge, l’appel de Cal à la concentration est plus qu’approprié. En approfondissant la pratique délibérée, un concept qu’il a décrit dans son dernier livre, Deep Work suggère que la capacité à s’immerger complètement dans une tâche complexe est une compétence rare, précieuse et significative. La deuxième partie du livre expose ensuite quatre règles que vous pouvez utiliser pour cultiver une éthique de travail profonde.

Voici trois leçons tirées de Deep Work qui vous aideront à passer du statut de personne occupée à celui de personne brillante :

  1. Il existe quatre stratégies pour travailler en profondeur, qui requièrent toutes une intention.
  2. La méditation productive peut vous aider à travailler plus profondément, même lorsque vous faites une pause.
  3. Arrêtez de travailler à la même heure chaque jour.

J’espère que vous avez apporté votre équipement de plongée sous-marine, car nous sommes sur le point d’aller en profondeur !

     

Leçon 1 : Utilisez l’une de ces quatre stratégies de travail en profondeur, mais soyez intentionnel.

     

Je suis heureux que Cal ne soit pas du genre à donner des conseils à tout le monde. Il sait que des choses différentes fonctionneront pour des personnes différentes, et c’est pourquoi, lorsqu’il présente ses arguments en faveur du travail en profondeur, il suggère quatre stratégies différentes :

  1. L’approche monastique. Monastique vient de monastère – le lieu où vivent les moines. Elle consiste à s’isoler complètement, par exemple en s’installant dans une cabane dans les bois pour écrire un roman, et à ne pas revenir avant qu’il ne soit terminé.
  2. L’approche bimodale. Cette approche donne la priorité au travail en profondeur avant tout le reste. Vous pouvez vous fixer un bloc de 4 à 6 heures par jour pour travailler en profondeur, par exemple en vous enfermant dans votre bureau, comme dans l’approche monastique. Cependant, une fois ce bloc terminé, vous êtes libre de faire tout ce que vous avez à faire.
  3. L’approche rythmique. Elle découpe votre travail en blocs de temps, comme la technique Pomodoro, et utilise un calendrier pour suivre vos progrès. Par exemple, vous planifiez votre semaine à l’avance, vous inscrivez 10 blocs de 90 minutes sur votre calendrier et vous prenez l’habitude de travailler par blocs de temps.
  4. L’approche journalistique. Si vous avez une routine quotidienne chargée, cette méthode fonctionne bien. Il s’agit simplement de consacrer tout temps libre imprévu à un travail en profondeur.

J’alterne actuellement entre 2 et 4, en fonction du type de journée qui m’attend, mais j’aimerais passer complètement à 2 au fil du temps. Pour être intentionnel dans votre approche du travail en profondeur, il faut surveiller la façon dont vous passez votre temps, donc l’une de vos premières étapes dans cette décision devrait être de suivre vos habitudes. Vous serez rapidement en mesure de distinguer le temps productif du temps improductif et de repérer les tendances.

En parlant de cela…

     

     

Leçon 2 : Tirer le meilleur parti du temps improductif avec une méditation productive.

     

C’est une idée que j’aime beaucoup et que j’ai récemment utilisée de plus en plus, sans savoir que je la trouverais dans ce livre. Cal appelle cela la méditation productive, et cela revient à utiliser votre temps « improductif » pour réfléchir en profondeur.

Par exemple, si vous prenez le métro pour vous rendre au travail chaque matin, et que vous savez que vous disposez de 30 minutes pour aller et revenir du travail, pendant lesquelles vous ne pouvez pas faire grand-chose d’autre, utilisez ce temps pour essayer de résoudre un problème complexe dans votre esprit. Les trajets, la douche, les tâches ménagères, les courses et les promenades (avec ou sans votre chien) sont autant d’occasions de réfléchir.

La prochaine fois que vous aurez un peu de « temps mort », pendant lequel vous ferez des tâches subalternes, accrochez-vous à un gros problème, essayez d’en voir les sous-problèmes, décomposez-le et résolvez-le.

     

Leçon 3 : Terminez votre travail à la même heure chaque jour, et tenez-vous-y.

     

Cal a l’habitude de terminer sa journée de travail à 17h30, tous les jours. Pas d’e-mails, pas d’Internet, pas de listes de tâches, pas d’ordinateur après cela. Il décrit sa pratique dans cet article de blog vieux de 7 ans, et bien que ses systèmes évoluent, la planification du temps de travail et du temps libre est restée un facteur constant.

Votre cerveau a besoin d’un peu d’espace chaque soir pour se détendre, et il ne l’obtiendra pas si vous avez une éthique de travail aussi poussée que possible. Limitez-vous en quittant votre travail et en ne consultant pas vos e-mails ou, mieux encore, en éteignant votre ordinateur à la même heure chaque jour. Ainsi, vous disposerez d’un créneau fixe de temps libre chaque jour pour récupérer.

Votre esprit continuera à travailler sous la surface, mais vous ne vous épuiserez pas à travailler 24 heures sur 24.

Autres résumés

WhatsApp