L’obstacle est le chemin résumé en 1 phrase : L’obstacle est le chemin est une version moderne de l’ancienne philosophie du Stoïcisme. Le Stoïcisme, qui vous aide à endurer les luttes de la vie avec grâce et résilience en tirant les leçons des héros antiques, des anciens présidents, des acteurs modernes, des athlètes, et de la façon dont ils ont transformé l’adversité en succès, grâce au pouvoir de la perception, de l’action et de la volonté.
Je sais qu’on ne peut pas vraiment qualifier les gens de « polyvalents », mais si on pouvait, je ne pense pas qu’il y ait un homme à qui cela s’appliquerait plus que Ryan Holiday. Si je pouvais avoir une personne en format couteau suisse à emmener partout où je vais, je le choisirais. Marketing en ligne, couverture médiatique, growth hacking, établissement de relations, publication de livres et maintenant philosophie stoïcienne, rien ne peut arrêter ce génie.
L’obstacle est le chemin reprend la philosophie antique, l’applique aux histoires de réussite de héros anciens, de personnages historiques et de célébrités et PDG modernes, et en tire un cadre que vous pouvez suivre pour affronter les luttes de votre propre vie avec la bonne perception, les actions et la volonté de les mener à bien.
Voici 3 grandes leçons qui vous aideront à suivre les traces de Sénèque :
- Imaginez que vous vous conseillez en tant qu’ami pour garder une perspective objective.
- Les grands obstacles ont de grandes faiblesses – identifiez-les et utilisez-les contre eux.
- Utilisez votre volonté pour accepter ce que vous ne pouvez pas changer et changer les choses que vous pouvez.
Prêt pour une leçon de résilience ? C’est parti !
L’obstacle est la chemin résumé
Leçon 1 : Imaginez que vous vous conseillez, en tant qu’ami, de garder une perspective objective.
T’es-tu déjà demandé pourquoi les solutions aux problèmes de nos amis sont parfois si évidentes pour nous, alors qu’ils ne les voient pas ? « Mec, si tu ne peux pas passer ce test, prends juste un cours accéléré comme tu l’as fait pour ton permis de conduire, tu te souviens ? »
Merde. J’aurais pu penser à ça.
Mais tu ne l’as pas fait. La raison en est la perspective. Notre première réaction quand nous rencontrons un obstacle est toujours émotionnelle. Nous sommes frustrés, en colère et pensons qu’il n’y a aucun moyen de résoudre ce problème.
Cependant, lorsque nous regardons les problèmes des autres, nous ne nous énervons pas autant et nous les percevons objectivement. C’est ce qui nous permet d’y voir beaucoup plus clair, de réagir en conséquence et de donner de bien meilleurs conseils sur la façon de les aborder.
Mais vous pouvez aussi être votre propre ami. Imaginez que vous êtes votre meilleur ami et essayez de vous dire comment franchir cet obstacle, en gardant à l’esprit vos compétences et vos atouts, mais en oubliant les émotions.
Les stoïciens faisaient aussi cela, ils imaginaient simplement ce qu’un sage – une personne éclairée et omnisciente – ferait.
Leçon 2 : Plus l’obstacle est grand, plus son point faible est grand – utilisez-le contre l’obstacle !
Alexandre le Grand a un jour été confronté à un énorme obstacle. Au sens propre. Bucéphale était l’un des meilleurs chevaux de toute la Grèce antique. Un étalon noir géant, à la peau noire, à l’endurance infinie et à la volonté indomptable, personne ne pouvait dompter Bucéphale.
Dès que quelqu’un s’approchait de lui, Bucéphale repoussait le cavalier avec fureur. Alexandre a vu son point faible et l’a utilisé contre lui. Il a fait courir Bucéphale en ligne droite, jusqu’à ce qu’il ne puisse plus courir. Épuisé d’avoir utilisé toute son énergie dans un sprint furieux, Alexandre monta sur le cheval, et à partir de ce moment, lui et Bucéphale furent une unité inséparable.
Tout comme dans cette histoire, ou dans les films de science-fiction, où les monstres et les créatures gigantesques ont toujours un point faible fatal, les plus grands obstacles de notre vie ont souvent aussi de grandes faiblesses, qui peuvent être utilisées contre eux.
Par exemple, Jerry Weintraub avait un sergent vraiment méchant lorsqu’il était à l’armée, qui le traitait toujours mal et se moquait de son nom. Un jour, alors qu’il faisait la queue pour avoir de la nourriture, Jerry lui a murmuré à l’oreille : « Je vais te tuer. » Surpris, son sergent lui a crié dessus. Jerry a répété : « Un jour, quand tu seras seul, je te trouverai, et je te tuerai. » Le sergent a complètement perdu la tête et a frappé Jerry au visage.
Une plainte au colonel plus tard, le sergent était parti. Sa colère et son intolérance aux propos insolents ont causé sa perte.
Tous les obstacles ont des faiblesses – il suffit de les chercher !
Leçon 3 : La meilleure façon d’utiliser votre volonté est d’accepter les choses que vous ne pouvez pas changer et de changer celles que vous pouvez.
Une fois que vous avez la bonne perspective et que vous savez quelles actions vous devez entreprendre, franchir votre obstacle est une question de volonté. Votre volonté vous permet de rester persistant et de ne pas abandonner avant de trouver finalement la solution et de pouvoir dépasser votre problème.
Les conseils stoïques pour cultiver cette volonté suggèrent d’accepter les choses que vous ne pouvez pas changer, et de vous concentrer sur le changement des choses sur lesquelles vous avez le contrôle.
Les événements naturels, les choix et les actions des autres, la maladie, la mort et les hauts et les bas de l’économie font tous partie de cette première catégorie – les facteurs externes. En revanche, vos émotions, jugements, attitudes, réponses, réactions et décisions vous appartiennent.
Prenez Thomas Edison, par exemple. À l’âge de 67 ans, tout son laboratoire a brûlé, y compris toutes ses expériences, prototypes, notes et recherches. Face à la réalité, il a décidé de repartir à zéro, au lieu de se lamenter sur une perte d’un million de dollars à laquelle il ne pouvait rien. Après s’être « débarrassé d’un tas de vieilleries », comme il l’a dit, il a pu repartir à zéro et a fini par faire 10 millions de dollars de bénéfices à la fin de l’année suivante.
Ce que vous ne pouvez pas changer, vous n’avez pas à vous en plaindre.
