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L’art de la victoire résumé

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Notre résumé

L’art de la victoire résumé en 1 phrase.

Le résumé de l’art de la victoire, présente le livre Shoe Dog, l’autobiographie du fondateur de Nike, Phil Knight, qui a enfin décidé de partager l’histoire de la création de l’une des marques les plus emblématiques, les plus rentables et les plus disruptives du monde.

Il est très rare que le fondateur d’une telle marque soit inconnu du grand public.  En fait, je ne savais même pas qui avait fondé Nike jusqu’au début de cette année, en débattant du sujet avec ma famille et en le googlant. Lorsqu’il a fondé Nike, alors appelée Blue Ribbon, en 1964, Phil Knight n’avait aucune idée de ce que ce projet fou deviendrait, à quel point il changerait le monde et ferait de lui la 15e personne la plus riche de la planète.

Voici 3 leçons de la vie de Phil Knight sur la façon dont il a construit Nike, la plus grande marque de sport de tous les temps :

  1. Si vous êtes jeune et que vous n’avez pas grand-chose à perdre, c’est le meilleur moment pour ce lancer.
  2. Faites-vous accompagner par un mentor et un partenaire, qui croiront en vous et compléteront vos compétences.
  3. Ne dites pas aux gens comment faire les choses. Laissez-les faire ce qu’ils ont à faire.

Vous avez une idée folle d’entreprise à lancer ? Tournons-nous vers Phil Knight pour voir comment vous pouvez la concrétiser et vous amuser en cours de route !

 

Résumé de Shoe Dog, l’art de la victoire

 

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Leçon 1 : On n’a que quelques occasions de lancer quelque chose de fou, alors foncez quand vous êtes jeune.

 

Phil a toujours baigné dans le sport. Il suivait les résultat de tous les matchs et il pratiquait énormément de sport différents. Comme job d’été il compilait les résultats sportifs de la journée pour un journal local qui les publiait le lendemain. Après chaque journée de travers, il courait 4 km pour rentrer chez lui. Le sport faisait parti intégrante de sa vie.

Après avoir obtenu son diplôme universitaire, Phil est entré à la Stanford Graduate School of Business. L’un de ses professeurs a décrit le caractère d’un entrepreneur, et Phil s’est immédiatement reconnu. Comme le cours exigeait la rédaction d’un plan d’affaires pour être accepté, Phil a écrit un article intitulé « Les chaussures de sport japonaises peuvent-elles faire aux chaussures de sport allemandes ce que les appareils photo japonais ont fait aux appareils photo allemands ? ».

Même si personne n’a été impressionné par le papier, Phil est devenu obsédé par l’idée. Il voulait vendre des chaussures de sport japonaises, haut de gamme et bon marché aux États-Unis. Lors de son voyage autour du monde après son diplôme, il s’est arrêté au Japon. Là-bas, à Kobe, il découvre la marque Tiger, fabriquée par Onitsuka (vous savez, celles que porte Uma Thurman dans Kill Bill), et en tombe amoureux.

Se disant qu’il était déjà là, jeune, et qu’il n’avait rien à perdre, il a appelé le PDG, M. Onitsuka, qui a accepté de le rencontrer – et lui a donné les droits de distribution pour l’ouest des États-Unis pour vendre les chaussures Onitsuka Tiger. Surpris par son propre succès, Phil Knight n’avait même pas réfléchi à un nom de marque,  Phil a lâché par hasard « Blue Ribbon » lorsque M. Onitsuka lui a demandé le nom de son entreprise.

Et c’est comme ça que l’aventure Nike démarra.

Cela ne se passe pas souvent de cette façon, mais quand on est jeune et qu’on ne sait pas quoi faire d’autre, autant tenter sa chance et donner une chance à son idée la plus folle. Sur un coup de chance ça peut marcher. C’est ce que nous montre ce résumé de l’art de la victoire.

 

 

Leçon 2 : trouver quelqu’un qui puisse être votre mentor et votre partenaire, qui croit en vous et qui vous apporte des compétences précieuses.

 

Si conclure l’accord initial a été aussi simple que de se présenter à la porte de M. Onitsuka, obtenir les premiers échantillons ne l’a pas été. Les 300 premières paires ont mis plus d’un an à être livrées, période pendant laquelle Phil a travaillé comme comptable. Lorsque Phil a enfin reçu les chaussures, l’une des premières personnes à qui il a envoyé deux paires était Bill Bowerman. Bill était son ancien entraîneur de course à pied à l’université de l’Oregon. Phil espérait obtenir une vente et un avis de qualité sur son produit.

À la surprise de Phil, Bill ne s’est pas arrêté là. Il lui a proposé de devenir son partenaire et de s’occuper de la conception du produit. Le fait d’avoir son mentor comme partenaire et de voir qu’il croyait lui aussi à l’idée de Phil a été l’une des choses qui ont donné à Phil la confiance nécessaire pour créer l’entreprise exactement comme il l’entendait. Et c’est ce qui en a fait la marque de qualité que nous connaissons aujourd’hui.

La première année, Phil a vendu les chaussures dans le coffre de sa voiture, une Plymouth Valiant verte. Il s’est rendu à des réunions d’athlétisme dans tout le pays et a gagné 8 000 dollars en 1963. Mais Bill ne s’est pas contenté de l’encourager.

Il devint bientôt évident que les compétences de Bill seraient également cruciales pour le succès de l’entreprise.

 

 

Leçon 3 : Dites aux gens ce qu’ils doivent faire et laissez-les trouver le comment. Encouragez chacun à être lui-même.

 

Lorsqu’on travaille avec des gens, les méthodes les plus efficaces semblent se situer aux extrémités du spectre: Leur dire comment tout faire, ou ne rien leur dire, sauf le résultat que vous voulez.

Phil Knight a choisi cette dernière solution, qu’il a apprise du général Patton : « Ne dites pas aux gens comment faire les choses. Dites-leur quoi faire et laissez-les vous surprendre par leurs résultats. »

Phil a toujours voulu laisser les gens être eux-mêmes. Et Bill ? C’était un vrai dingues de chaussures. Il était obsédé par les chaussures et la façon de les améliorer. Quand Phil allait voir Bill, ce dernier l’utilisait toujours comme cobaye. Ensemble, ils testaient de nouveaux matériaux pour les chaussures, des modifications et des améliorations.

Bill déchirait une chaussure pour la  reconstituer complètement. De cette façon, il a essayé de rendre la chaussure toujours plus légère pour le coureur.

Il a même construit une chaussure avec de la peau de poisson au lieu de cuir une fois !

À l’époque, Bill a également commencé à entraîner des coureurs populaires et de futurs champions olympique, aidant à vendre plus de chaussures, et lorsque Phil a envoyé le premier prototype de chaussure modifié de Bill, la Cortez, à Onitsuka, suggérant qu’ils la fabriquent, ils ont décroché leur premier grand succès commercial.

Ce style de gestion non interventionniste continuerait d’ajouter au Blue Ribbon, puis au succès de Nike. Le résumé de l’art de la victoire nous apprend qu’embaucher des gens formidables et les laisser faire leur travail est l’un des éléments essentiels qui ont fait de Nike, et bien, Nike.

    

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